Les éditions Klopp ouvrent une souscription pour la nouvelle édition de l'indispensable « La Barrière de Fer » de Philippe Truttmann.
Les éditions Klopp ouvrent une souscription pour la nouvelle édition de l'indispensable « La Barrière de Fer » de Philippe Truttmann.
Enfin un projet qui se distingue nettement des précédents qui dénaturaient totalement le site pour y construire des hlms.
l’initiateur du projet a bien compris que le site de la batterie de la Pointe est exceptionnel du point de vue de la visibilité depuis la vallée de Chevreuse, le plateau de Villebon et la plaine d'Orly. La batterie est aussi survolé à une altitude très faible par tous les vols atterrissant à l'aéroport d'Orly situé seulement à quelques kilomètres.
C'est donc une opportunité pour y placer le nom de PALAISEAU en lettres blanches de 15 mètres de haut pour 10 mètres de large. Une publicité qui a d'autant plus de sens que le site de la batterie de la Pointe est à l'extrémité Est du plateau de Saclay technopole internationale.
La ville de Palaiseau propriétaire de la batterie peut ainsi faire savoir aux hommes d'affaire à destination de la France par Orly et a ceux empruntant l'autoroute vers Paris que c'est à Palaiseau qu'il faut venir pour investir et pour travailler.
Billet n° 06/2009
Fonctionnement de l’arme : Le tireur introduit une bande rigide ou articulée dans le couloir d'alimentation, le taquet supérieur de l'arrêtoir de bande descend, son bras inférieur s'escamote. Le tireur amène l'ensemble mobile à l'arrière en actionnant le levier d'armement ainsi les cames du piston font tourner le rochet d'entraînement de la bande, celle-ci se déplace d'un cran vers la droite afin d’amener une cartouche face à la chambre de tir. Le cran d'armé de la culasse se verrouille sur la queue de détente. Le ressort récupérateur est comprimé. Lorsque le tireur appuie sur la queue de détente l'ensemble mobile se déverrouille et est propulsé vers l’avant par le ressort récupérateur ainsi la culasse chambre la cartouche, en fin de mouvement il y a percussion. Le coup part. L'ensemble mobile fait mouvement arrière sous la pression des gaz qui passent par l’évent du canon et agissent sur le piston. L'étui est extrait, éjecté puis les cames du piston font tourner une nouvelle fois le crochet d'entraînement de bande, celle-ci se déplace d'un cran vers la droite, amenant une nouvelle cartouche face à la chambre. Cette opération se réitère tant que le tireur presse la queue de détente. A partir du moment ou la bande est vide et est automatiquement éjectée, le taquet supérieur de l'arrêtoir de bande remonte, son bras inférieur vient faire saillie dans la boîte de culasse. Le cran de l'arrêtoir de culasse sur le piston dépasse l'arrêtoir de bande puis vient s'y accrocher lors du retour en avant de l'ensemble mobile, l'ensemble mobile est dorénavant à l'arrière. La queue de détente reste enfoncée. Le chargeur introduit une nouvelle bande. Démontage : IL EST TRES IMPORTANT QUELQUE SOIT L’ARME, DE FAIRE LES MESURES DE SECURITE AVANT UN DEMONTAGE, CECI AFIN DE VERIFIER QU’AUCUNE CARTOUCHE NE SOIT CHAMBREE DONC D’EVITER LES ACCIDENTS !!! Les démontages et remontages peuvent s’effectuer sur affût, pour permettre une meilleure stabilité de l’arme afin d’éviter des déséquilibres suite à l’importance de son poids. Effectuer les mesures de sécurité en amenant l’ensemble mobile vers l’arrière en actionnant le levier d’armement et vérifier qu’aucune cartouche n’est chambrée. Après vérification, raccompagner l’ensemble mobile vers l’avant tout en pressant sur la queue de détente. Armer et laisser l’ensemble mobile à l’arrière pour que le piston soit sorti du cylindre à gaz afin de pouvoir démonter le canon. Amener la clavette de démontage du canon vers l’arrière afin de déverrouiller le canon. Basculer le canon d’un quart de tour vers la gauche et l’ôter en faisant attention au pas. S’il est impossible de démonter le canon à la main, utilisez la clé de démontage. Ramener l’ensemble mobile vers l’avant en pressent la queue de détente et en raccompagnant le levier d’armement. Retirer la clavette de maintien du passe-bandes et retirer le passe-bandes. Appuyer le verrou à l'intérieur de la poignée arrière de façon à libérer la broche de démontage. Retenant la poignée arrière du couvre culasse, basculer la broche de démontage vers la gauche et la retirer. Ensuite retenir le cache culasse qui est poussé par le ressort récupérateur. Laisser se décomprimer le ressort récupérateur et ôter l'ensemble couvre culasse de la boîte de culasse.
Billet n° 05/2009
H / L’extracteur d’étui modèle 1907:
I / Clé modèle 1908 pour le démontage du canon :
J / Gant pour le changement du canon :
K / Epaulière de transport :
L / Le bouchon de tir à blanc :
VIII / Les affûts :
1) le modèle 1907 de rempart :
Utilisé par les troupes de forteresse.
2) le modèle 1907 de type « C » :
Ce modèle initialement utilisé pour les mitrailleuses Sainte Etienne 1907 est modifié pour recevoir la mitrailleuse Hotchkiss modèle 1914.
3) le modèle 1915 :
Il diffère du modèle précédent par ces dimensions et par certaines pièces.
4) Trepied Hotchkiss type guerre modele 1914:
Il équipa les premières Hotchkiss modèle 1914 mais sera rapidement abandonné au profit du modèle 1916.
5) Trepied Hotchkiss modele 1916:
Trépied position haute pour tireur assis. Hauteur de la mitrailleuse 680 mm.
Trépied position basse pour tireur couché. Hauteur de la mitrailleuse 350 mm.
Le trépied dispose d’une plaque en fonte de laiton, rivetée, sur laquelle se trouve le numéro de série du trépied et le nom du fabricant.
6) La rallonges modèle 1928 pour le tir anti-aérien:
7) Les affûts DCA:
L’affût DCA simple modèle 1925 et l’affût DCA double modèle 1926.
- l’affût trépied JEAN.
A suivre….
Grenadier la lanterne.
BILLET N° 02/2009
Plan avec les 12 maisons leurres
La ligne Maginot, « ouvrage défensif le plus formidable de tous les temps », disait-on à l’époque; malheureusement, l’histoire a voulu qu’il soit contourné. Un autre réseau souterrain, dévoilé récemment au public, construit en Allemagne, au sud-est de Berlin; n’a pas été contourné, mais c’est encore mieux ! les Soviétiques du 1er front ukrainien du maréchal Koniev lors de leur avance finale sur la capitale le 20 avril 1945, sont passés par-dessus et ne l’ont pas vu. Qu’est-ce qu’il y avait à Wünsdorf – Zossen le long de la Reichstrasse 96, que certains appelaient der Weg zur Ewigkeit (le chemin de l’éternité) ?
Fausses maisons au sous-sol desquelles se trouvent les PC de commandement
Wünsdorf a toujours été une ville garnison, du temps du Kaiser déjà; puis durant la première guerre mondiale, elle a accueilli un important camp de prisonniers, des soldats français nord africains notamment. En 1936, on construit un village tout neuf pour les athlètes des jeux olympiques de Berlin. Ces constructions ont servi ensuite aux jeunes cadres du parti et à leurs familles, les bons aryens étaient aux petits soins dans cette belle contrée entourée de forêts.
Fausses maisons au sous-sol desquelles se trouvent les PC de commandement
C’est à cet endroit que l’on décide d’implanter la centrale de communication du commandement suprême de l’armée allemande, l’OKH, ce lieu prend le nom de Maybach. Des fausses maisons en béton, toits y compris sont implantés selon un schéma qui ressemble à un fer à cheval et reliées entres-elles par le sous sol, chaque maison représente un corps d’armée; De ces sous-sols où sont agencées des salles de travail, les lignes câblées relient les capitales des pays occupés; les postes de commandement en campagne sur les différents fronts sont ensuite reliés par les airs.
Sommet d'une de ces fausses maisons, le sol ayant été comblé
C’est à cet endroit que l’on décide d’implanter la centrale de communication du commandement suprême de l’armée allemande, l’OKH, ce lieu prend le nom de Maybach. Des fausses maisons en béton, toits y compris sont implantés selon un schéma qui ressemble à un fer à cheval et reliées entres-elles par le sous sol, chaque maison représente un corps d’armée; De ces sous-sols où sont agencées des salles de travail, les lignes câblées relient les capitales des pays occupés; les postes de commandement en campagne sur les différents fronts sont ensuite reliés par les airs.
Jours et nuits sans intermittence et de toutes les puissances, sont émis les dépêches de l’OKH. Huit officiers, dans l’entourage du général Fellgiebel, responsable de la centrale de cryptage, ayant juré de faire tomber le régime, font diffuser par l’intermédiaire des techniciens radios les messages codés à des destinataires qui sont pour eux que des correspondants. Les messages déviés portent l’indication au début de l’émission, RAHS suivi de Werther pour ce qui touche à la Wehrmacht et d’Olga pour ce qui est de la Luftwaffe.
Tour abri en forme d'obus pour familles des militaires résidant dans le complexe
A suivre…….
J.-P. Soulier - 2008
Places de première ligne
Dunkerque (destruction de l'enceinte 1713)
Bergues (1667-1679)
Furnes
Ypres
Menin
Lille
Tournai
Condé-sur-l'Escaut (1680)
Valencienne
Le Quesnoy (1668)
Maubeuge (1684)
Philippeville
Dinant
Givet-fort de Charlemont (renforcé par Vauban 1697)
Places de seconde ligne
Gravelines (Oligiati 1540-1555 Vauban 1680-1699)
Saint-Omer
Aire-sur-la-Lys
Saint-Vénart
Béthune
Arras (1670)
Douai
Bouchain
Cambrai (1678)
Landrecies
Avesnes
Marienbourg
Rocroi (1555 henri III)
Mezières
Places arrières
Luxembourg
Namur
Sarrelouis
Montmédy (1550 Charles Quint)
Longwy (1676)
Fort Louis
Fort de Knock
Fort d'Ambleteuse (1684-1690)
Calais
Ardres
Boulogne-sur-Mer
Montreuil-sur-Mer (Errard de Bar-le-Duc et Vauban après 1678)
Abbeville
Doullens (Antonio de Castello 1525 - Errard de Bar-le-Duc 1598)
Amiens (Errard de Bar-le-Duc 1598)
Bapaume
Ham
Saint-Quentin
Guize
Sedan (1559)
Stenay (rasée en 1689)
Thionville (Cormontaigne 1738-1750)
Metz
Verdun (1624)
Toul (1698)
Nancy
Marsal
Bitche (1683)
Phalsbourg (1683)
Philippsbourg
Ludwigsbourg
Strasbourg
Kehl
Neuf-Brisach (1698)
Brisach
Belfort (1687-1705)
Huningue
Auxonne (1673-1675)
Besançon (1668-1703)
Saint-Jean-de-Losne
Salins (1674)
Fort de Joux
Fort Barraux
Mont-dauphin (1692)
Fort l'Ecluse
Pontarlier (1690)
Cherbourg
Langres
Alpes
Briancon
Citadelle du Mont-Dauphin (1693)
Château Queyras (1692-1700)
Fort Saint-Vincent (1693)
Citadelle de Seyne-les-Alpes (Niquet et Richerand 1693)
Colmars-les-Alpes (1692)
Fort de Savoie
Fort de France
Entrevaux
Turin (Italie)
Embrun Meditéranée
Antibes
Fort Carré
Fort Sainte-Marguerite (Cannes)
Fort de l'Eguilette (Toulon)
Fort Saint-Louis
Fort Saint-Jean (1660) (Marseille)
Fort Saint-Nicolas (1666)
Château d'If (1524)
Fort de Bouc (1607) (Martigues)
Mont-Louis (1681)
Collioure
Fort St Elme
Port Vendres - Fort Bear
Atlantique
Tour de Saint-Vaast-la-Hougues
Fort de Tatihou (1698-1701)
Saint-Malo (1689)
Fort de La Latte
Château du Taureau
Brest
Lignes de Querlern
Tour Dorée
Concarneau
Citadelle de Port-Louis
Ile de Houat (1683)
Ile de Hoëdic (1683)
Citadelle de Belle-Ile (1682-1689)
Citadelle de Saint-Martin-de-Ré
Château d'Oléron
Rochefort
Fort Lupin
Brouage (1568 Belamarti et Bephani)
Citadelle de Blaye (1685-1689)
Fort Pate
Fort Medoc
Fort Chapus
Saint Martin de Ré
Fort de la Pree
Pyrénées
Saint Jean Pied de Port
Prats-de-Mollo
Villefranche-de-Conflent
Fort Liberia
Mont-Louis
Bayonne (1681)
Fort de Socoa (1698)
Navarrenx